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Mots écrits ou Maux & Cris

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Mots écrits ou Maux & Cris
3 mai 2009

La vie - la mort

La vie :  donner une définition parait incongru... La vie est à a fois tout et rien. Un ensemble, un vécut, un non vécut, des choses individuelles qui forment un ensemble...
oui la vie c'est beaucoup de chose. On y tient ou pas.
Mais inexorablement, elle nous conduit tous vers la mort...
... La mort est la seule certitude qui puisse exister, car on sait que c'est la chose qui nous attends un jour où l'autre. Mais on ne sait pas quand, on ne sait pas où, on ne sait pas comment... Enfin pas toujours.

La mort rend triste : car elle nous fait perdre des êtres chers, et c'est toujours aussi douloureux. Et cela, que ce fusse une mort naturelle ou une mort brutale.

En effet une mort brutale inattendue peut tomber sur des gens de tout âge, de toutes conditions, qui n'aurait pas du partir si vite, leur mort choque, effondre les familles, devient inacceptable et rend amer.
Mais pourtant, la mort naturelle n'est pas si digeste pour autant. Car si elle peut venir abréger des souffrances et rassurer, elle fait mal aussi car ce'st une mort longue et fastidieuse qui amène des familles à subir la maldie elle aussi. ces familles qui voient leurs proches souffrir, endurer le mal et les traitements tous ls plus agressifs les uns des autres. Ils entendent des diagnostics et des pronostics que se contredisent les uns aux autres...
Au final on vous dit que votre proche va mourir. Mais il se bat. Il vit car il veut vivre, et lutte.

Mais c'est un combat qui laisse des souffrances. Mais qui a aussi fait naître l'espoir. En vain : car la maladie reprend. Elle gagne tout doucement. Et vous, vous devez subir toutes ces souffrances vous aussi.
Mais tout aussi humain que vous êtes : vous en venez à espérer que cette fin vienne vite. Alors vous priez la mort aussi fort que vous aimez la vie, car celle-ci apaisera vos souffrances et celle de ce proche que vous aimez tant et que vous voyez partir.

La vie est dure de nous faire endurer tout cela. Heureux sont les gens qui n'auront jamais à connaître cela : à devoir arriver à souhaiter aussi vite la mort de ces proches. mais ils ont tellement raison !
Il est tellement humain de vouloir faire cesser les souffrances de personnes qui les endurent pour rendre leur dernier souffle, de vouloir leur offrir l'apaisement...

Ne combattons pas déjà assez de notre vivant pour devoir lutter sans cesse avec la mort ?

Si on réfléchit bien, nous ne luttons pas avec la mort, car elle nous apaise de ces souffrances qui nous rongent. Non, nous luttons avec la vie, pour s'affirmer et exister...

Hélas, nul n'est immortel.

À toi, qui endure ce lourd moment, je suis avec toi. j'aimerai tant t'aider. J'aimerai tant avoir les mots qui puissent soulager toutes ces choses que tu vois, ressens et subis ces temps-ci. Je me joins à toi dans tes pensées, et espère que toute cette situation puisse s'achever au plus vite, que vous trouviez tous un peu de repos, d'apaisement et de soulagement, qu'enfin vous puissiez tourner la page sur cette période qui vous ronge.

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30 septembre 2008

le vide

qu'il est triste de ressentir un vide dans sa vie, mais là est le problème à force d'avoir une vie remplie on se rend compte qu'on est vide. il suffit de prendre 5 minutes et de regarder autour de soi pour attester du vide qui est là, faites le point vous mêmes autour de vous à combien de personnes êtes-vous sûr de pouvoir remettre dans leur main votre vie et âme les yeux fermés... ?
si vous les comptez sur plus d'une main : soit vous êtes chanceux, soit vous êtes naïf.
Le plus dur reste la situation où vous aviez ces personnes mais que les aléas font qu'ils ne sont plus toujours là... comme Lamartine a su le dire, un seul être vous manque et tout vous est dépeuplé. il est vrai que si l'on arrache tout les repères qui nous construisent, il est dur de réussir à se reconstruire sans de belles cicatrices...

mais le pire c'est quand vous attendez de l'élu de votre coeur, un mot, un geste, et que rien ne vient, ou viennent de choses mais qui ne vous conviennent pas et qui vous froissent, qu'il ne trouve pas les mots, engendrant alors d'autres maux, c'est là qu'un grand moment de déception vous envahi et vous fait douter ... comment ne peut-il pas avoir les mots que vous-même trouviez à chaque moment...? que suite à ce doute, les remords vous viennent d'avoir douté de lui... car votre compréhensivité vous fait culapbiliser. Certes, il est vrai que c'est un crime de tant penser aux autres avant de penser à soi... et de faire le constat que la réciproque n'est présente. Et c'est ce constat qui vous ouvre les yeux sur ce vide qui remplit votre vie... ce déséquilibre qui vous hante...
Mais le vide n'est qu'un concept paradoxal car le sentiment de vide vous ronge jusqu'au sang et vous remplit de choses qui est tout sauf du vide...


27 juillet 2008

l'absence

l'absence est lorsque quelqu'un ou quelque chose n'est plus présent. lorsque l'on tien à cet objet ou personne on ressent cette absence comme lourde et pesante : le manque.
ce ressenti nous rend mélancolique et pensif, nous faisant penser à cette absence qui nous fait mal nous travaille.
mais il y a des absences qui nous rende mieux et meilleurs, l'absence des personne pour qui nous sommes indifférentes ou parce que leur seule présence nous fait mal ou nous remémore de mauvais souvenirs. alors l'absence de ces personnes nous fais souffler.
mais ce n'est que faux semblant, l'ignorance est ironique et cruelle car il y aura toujours quelque chose pour nous rappeler que ces personnes existent : une date, un évènement, les gens, les ragots, les rumeurs.... la liste est longue et alors d'un coup on se reprend en pleine gueule tout un tas de souvenirs qu'on préfèrerait oublier.

alors oui, l'absence nous fait mal.... le vide quelle représente nous remplit d'émotions tristes car on s'aperçoit que des personnes que l'on aime nous manque ou que des personnes qui nous font mal existent et que l'on en souffre.

aujourd'hui deux absences me font mal... une éphémère car je retrouverai mon amour sous peu et l'enlacerai très fort pour lui donner tout mon amour dans une étreinte sans fin, l'autre éternelle qui enfonce le couteau dans une plaie sans fin... car si cette personne pour moi n'existe plus, la réalité est différente de mon imaginaire car il existe depuis quelques années aujourd'hui et pourtant je voudrai tant oublié toute les souffrances qu'il inflige....  mais tout ceci est ancré en moi et il suffit d'un truc pour me le rappeler.... l'absence est tout sauf un vide à combler... c'est un poids qui prend trop de place et bien lourd à supporter.


6 juillet 2008

l'homme en quête

on cherche tous un jour le bonheur... en quête d'une satisfaction plus jouissive, on en veut toujours plus... mais la question que je me pose pourquoi restons nous aussi insatisfait ? Pourquoi voulons nous toujours plus?
il serait pourtant si simple de se contenter de ce que l'on a, ce a éviterait de batailler pour obtenir mieux que son voisin, ou encore de désirer toujours l'impossible... car cette quête de l'impossible est ce qui mène à de nombreux conflits....
si nous cessions un moment de batailler pour des choses qui nous sont impossibles, que nous cessions de réclamer ce qui appartient à autrui, peut-être alors vivrions nous dans un monde plus paisible...
mais apparemment le désir est ancré en nous, même si l'un des dix commandements nous prône de ne pas convier autrui, que ce soit la personne ou ses biens... voire ses terres... lé désire de la chair, le désir matériel et enfin le désir de pouvoir et de conquête...
de la quête de l'amour à la quête du Grâal, nous sommes sans cesse en quête de l'inconnu, car dès que nous touchons de peu au bonheur, cette dose suffit pas on en veut plus, en quantité supérieure.
le désir est ce qui nous fait vivre et qui paradoxalement nous rend moins superficiel en nous rendant superficiel. il nous permet de nous sentir moins vide en nous permettant de remplir notre vie d'un but ou d'envie. le désir devient alors l'essence même de notre vie, celui qui nous fait survivre et évoluer dans ce monde mais qui peut aussi tuer, car le désir de certains peuvent mener à des méfaits funestes, le désir de conquête entraine les guerres voire des génocides... tant de paradoxe au coeur de cette notion de désir...
le désir, notion si proche de l'envie, l'envie qui elle est affabulée du titre de péché capital avec six autres choses...
l'envie, qui fait naitre la jalousie, qui suscite la convoitise, doux péché de céder à la tentation, mais pourquoi se refuser ce qui pourrait nous rendre heureux?
la morale, la loi, car si pour atteindre notre satisfaction il faut enfreindre le bonheur des autres en attentant à leur biens, il devient immoral de s'imposer sur la vie des autres... mais n'est-ce pas ce que fat Israël sur la Palestine? n'est-ce pas ce qu'ont fait certains dictateurs à des peuples entier pour arriver à mettre en place leur idéal espèce humaine ?
la loi permet de mettre des limites sur les libertés pour mieux assurer nos libertés individuelles, c'est la restriction et la répression qui permettent de dire que l'on est dans un pays de droit, car sans ces limites, l'homme ne cesserait de penser à soi de façon égoïste et les plus forts règneraient sur les plus faibles, qui n'aurait rien pour se protéger...

vient alors un autre paradoxe, c'est la restriction qui nous permet alors de satisfaire au mieux tous nos désirs...

5 juillet 2008

l'amour

j'évoquais dans mon précédent post, la quête du grand amour, fil conducteur des écrits de Carrie, alias Sarah Jessica Parker dans sex and the city... LE grand Amour avec un A... moi je ne peux pas dire qu'il n'est pas un fil conducteur, car c'est l'amour qui désormais conduit ma vie.
L'amour, un mythe diraient des éternels déçus, mais pourtant, il existe, il guide nos vies, c'est notre quête du Graal, nous voulons tous le trouver! petits on nous raconte les histoires de princesse qui vécurent heureuse avec leur prince pour une vie éternelle pleine de magie... alors on se met à croire en ces mondes merveilleux et magiques et on se cache des monstres qui nous effraient.
puis on grandit... les mythes on y croit plus, la vie n'est pas assez généreuse pour nous rendre parfaitement heureux, et sa dureté telle une douche froide, nous remet vite les pieds sur terre et nous décroche la tête de ces étoiles issues des contes de fées... on  oublie tout ça pour se plonger dans le train train quotidien métro-boulot-dodo... et bang.
l'amour vient frapper à votre porte, sans que vous vous en rendez compte, il chamboule votre vie bien cadrée, tranquille et réglée. il la bouleverse du tout au tout et vous transcende, vous transforme et apporte une vague de sensations inédites.
il est en vous et transporte vos priorités sur l'être aimé accroché à l'autre bout de la flèches de Cupidon. une flèche résistante qui s'étend par une bonne dose de confiance, qui se renforce par la complicité qui s'installe et s'endurcit par les couches multiples de sentiments amenées par cette passion nouvelle. mais elle est aussi frêle que résistante. c'est pourquoi l'amour est quelque chose de précieux auquel il faut faire attention.

le jour où l'amour a frappé à ma porte ce soir de septembre, il a changé ma vie, et a rempli ma vie d'un bonheur infini... une inspiration sans égal... un bien être total.

alors le jour où vous sentez quelque chose battre au fond de votre coeur, ouvrez cette porte, et laissez cette passion vous envahir, car on en ressort plus fort....


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4 juillet 2008

bienvenu(es)

un blog! chouette - diriez-vous - encore pour vous quelqu'un qui n'aurait rien de mieux à faire que de narrer sa vie en long, en large et en travers sur tous les angles et sous toutes les coutures.
C'est ce que l'on appelle dans le jargon de psy un stéréotype constant du blog : le dépositaire de secret, de choses que l'on veut montrer à des amis ou anonymes... les élucubrations sans fins de choses plus ou moins intéressantes... ou inintéressantes...
alors soyez déçu, loin de ces stéréotype du mode 3615mylife, je préfère de loin écrire à la troisième personne pour non pas parler de moi, mais d'un état d'esprit, d'un point de vue, d'une réflexion, à l'instar de Carrie Bradshaw qui raconte sa quête du grand Amour, moi je veux raconter non pas la forme mais le fond...
amour, actualité, coup de gueule, et bien d'autre encore...
ici s'ouvre un espace de réflexion, d'état d'âme ou d'esprits provenant de mes émotions, mes ressentis, etc. tout comme peut s'ouvrir un débat via des commentaires...
alors bonne lecture et si je peux me permettre de vous donner un conseil : faites tomber les œillères, les on-dit, et laisser parler vos émotions vous aussi, c'est l'essence même de notre vie.


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